Une Encyclopédie du Cinéma Français

C'est à un soprano reconnu, vierge de toute expérience cinématographique, que Guitry confia le rôle - absent dans la pièce d'origine - de la Comtesse nympho de Désiré. Geneviève Vix (1879-1939) y apparaissait quelques secondes, s'entretenant au téléphone...

Notre imprimeur a fait diligence... Le tome 13 de L'Encyclopédie des Longs Métrages français 1929-1979 nous a été livré (normal, c'est un livre) aujourd'hui à 13 heures (normal, c'est le tome 13). Au sommaire : Le Diable au corps (1946), Le Diable boiteux...

Tout est parti de là. Envie de parler des mêmes films, quelques années après, autrement, et en insistant peut-être encore davantage sur les paradoxes, nombreux, incessants, de Sacha Guitry, cinéaste. Le regard éclairé de Philippe Arnaud manque un peu,...

Nous reviendrons très vite, c'est promis, sur le plaisir très vif que nous a procuré la lecture du nouvel opus consacré par Yves URO aux interprètes guitryennes par excellence. Après un premier ouvrage pleinement consacré à Pauline Carton (L'Harmattan,...

J'avoue, j'ai une passion coupable pour Marthe Jenny Dutreix, dite Marfa Dhervilly. Pourquoi ?? Parce qu'à neuf ans, parcourant la filmographie donnée à la fin l'ouvrage Le Cinéma et Moi par Sacha Guitry, cadeau de ma tatie Danielle (si, mais à la ville,...

Je suis une actrice de théâtre, un peu demi-mondaine aussi, j'ai régné sur le Paris de la Belle Époque, mais, à l'instar de beaucoup de mes consœurs, j'ai fini mes jours dans la mouise. Quarante-quatre ans après la réalisation de cette photo, pistonnée...

BETHSABÉE (Léonide Moguy, 1947), revu début 2011 pour le volume 3 de l'Encyclopédie des Longs Métrages 1929-1979. Toujours aussi ennuyeux, comme peu ou prou tous les drames sur fond de Légion étrangère tournés après 1945 (voir L'Escadron blanc et autres...

J - 5 !!

Affiche d'exploitation rare, en tout les cas moins largement diffusée - moins austère aussi - que l'affiche de référence. On notera malgré tout la quadruple absence, parmi les interprètes cités, des "vedettes américaines" du film, faisant l'objet de cartons...

Raymond Chirat la plaçait infiniment haut dans son panthéon personnel, à niveau quasiment égal avec sa devancière, Marguerite Moreno. Sandrine Rinaldi a souligné, en huit mots, pas un de plus, "sa grimace de sourire, tantôt carnassière, tantôt douloureuse"....